Le 2 avril la coordination Rhône d’Ecole en danger appellait à deux actions spécifiques, le mur de revendication et la marche aux flambeau. Quelques photos.
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« marche pour la d�croissance »
Le 2 avril la coordination Rhône d’Ecole en danger appellait à deux actions spécifiques, le mur de revendication et la marche aux flambeau. Quelques photos.
Rendez-vous le jeudi 8 novembre 2018 à 18h30 pour un « vernissage/rencontre » pas comme les autres avec l’association « Casseurs de Pub » et le Journal « La Décroissance » .
5e EDITION Dans un monde présenté par les mass médias comme étant en constante mutation, dirigé par de nouveaux modèles économiques et sociaux, de nouvelles formes de communication, nous nous interrogeons justement sur cette modernité. Face à ce cycle aliénant nous invitant à adopter une attitude plus consumériste que réactive, nous préférons créer et expérimenter, comme moyens de luttes, des pratiques de détournement et de réappropriation d’outils ou d’espace. Nos « nouvelles » formes de (...)
La crise actuelle qui se cristallise autour du CPE, est l’aboutissement de plusieurs années de mécontentements, de luttes sociales, et surtout d’un ras-le-bol généralisé, face à la situation actuelle où la précarité et la souffrance sociale s’étendent de plus en plus.
si le mouvement a suffisamment d’énergie, d’unité, de détermination et de confiance en lui, il peut soulever des montagnes, faire chuter le gouvernement et amorcer un véritable changement de société, par la base.
Les Jacobins noirs est l’ouvrage majeur de James, dont on doit la dernière édition en français aux éditions Amsterdam (2008). On y apprend comment les chaînes de l’esclavage furent brisées à Saint-Domingue par des bataillons puissamment organisés de femmes et d’hommes analphabètes et n’ayant, pour beaucoup, jamais connu rien d’autre que la condition servile.
La marche silencieuse organisée par les proches de Umüt, après son assassinat par la police le week-end dernier en Suisse, a rassemblé 300 personnes ce samedi 24 avril, qui ont marché du consulat suisse aux Charpennes jusqu’à l’Hôtel de Ville de Lyon place des Terreaux. Cette marche a été très digne, et rassemblait beaucoup de jeunes de Vaulx-en-Velin et Villeurbanne, avec de nombreuses banderoles et la photo d’Umüt sur la poitrine, pour soutenir la famille et les proches, ainsi que pour marquer le refus de ce système qui, en Suisse comme en France, fait payer d’une vie un vol de voiture et couvre les crimes de ce système au nom du droit.
Le 25 avril dernier, Philippe Camus, cogérant du groupe Lagardère, président de MATRA aéronautique et ancien président de EADS, est venu prêcher la bonne parole libérale à l’université de Lyon 1. Récit.
Texte d’analyse sur le rôle des universités dans la société capitaliste et sur la loi Fioraso publié dans le premier numéro du journal de Solidaires étudiant-e-s - Syndicat de Lutte Lyon « Un pavé dans ta fac »
Là où ils sont, dites leur que nous tenons...
Insurgez-vous ! Engagez-vous !
Sarkozy dégage, Strauss Khan dégage, Lamy dégage, Trichet t’es pas encore parti ? (Tunisie merci...)
Le CPE : une entrée privilégiée dans le monde du travail. Le nouveau modèle social est un club privé. C’est un privilège d’avoir un travail merdique, parce que l’assistanat, la solidarité, les dépenses sociales abusives, qui ne servent pas le patronat, pèsent sur l’enjeu économique de la France. Et le premier ministre et le gouvernement entendent bien« mener une action durable et approfondie pour concilier la nécessaire sécurisation des salariés avec la recherche de la compétitivité et le renforcement de notre économie. » Ca, c’est de la lutte contre la précarité !
Appel à la grève pour le climat le 13 mars 2020, 11h30 Jean Macé
Anis est au CRA 2 de Lyon-Saint-Exupéry depuis fin octobre 2023. Il vit en France depuis 42 ans. Ce texte est la transcription d’un témoignage audio du 15 décembre 2023. Anis y parle des conditions de vie dans le CRA, des violences policières, de la complicité des médecins et de Forum Réfugiés, de l’insalubrité des bâtiments et du non-respect du droit des détenu·es à communiquer via la cabines téléphoniques, ainsi que des nombreuses démarches qu’il a entreprises auprès de la justice et du Contrôleur général des lieux de privation de liberté pour faire respecter ses droits. Force à lui.
Deux textes d’actualité extraits du dernier numéro de Rebetiko.
Ce samedi 29 novembre, l’atmosphère des rues lyonnaises avait quelque chose d’inattendu : ce qui sautait fatalement à la gueule, ce n’était ni la « violence » de la manifestation, ni le nombre de flics déployés et la paralysie de la circulation automobile. C’était l’écart entre la parole et les gestes. Personne n’a respecté ce qu’il avait dit. Aucune des trois forces antagonistes qui voulait s’imposer dans la rue ce jour-là n’a pu accomplir ce dont elle s’était vanté. Toutes ont été curieusement défaites. Identitaires, flics, manifestant-es antifascistes : tout le monde s’est retrouvé un peu dépassé. En deçà de la situation.
Il ne s’agit pas ici de tenter de ramener à nous la couverture médiatique des drames norvégiens. Ou de comparer ce qui n’est pas comparable. Mais de montrer dans quelle mesure les violences et les théories d’Anders Breivik ne sont pas celles d’un fou, d’un néo-nazi taré ou d’un loup solitaire égaré qui aurait grappillé sur internet des idées alambiquées pour s’en faire une folle croisade... Mais qu’elles sont représentatives d’un courant dont les théories et pratiques sont connues sur Lyon.
Les usines Bosch de Vénissieux sont en pleine « restructuration », comme l’expliquaient des délégués syndicaux vendredi. Mais leurs salarié·es sont déterminé·es à lutter pour maintenir leurs emplois et se sont mis en grève le 5 avril. Le début probable d’un bras de fer avec leur direction allemande. Mohammed, Georges, Hannan, Jonathan… ces travailleurs et travailleuses faisaient partie des plus de 100 personnes présentes sur le piquet ce mardi. Ils témoignent de leurs inquiétudes et de leur colère.
Peut-on parler d’économie sur Rebellyon ? Quand il s’agit d’une nouvelle façon de pratiquer un commerce, de travailler en se respectant, ça me semble justifié d’en parler.
Dans le cadre de la Causerie au bar associatif « Les Clameurs », on parlera d’écologie révolutionnaire.
Conférence contre la répression le jeudi 17 janvier 2008 à 20h30 à L’Otentik Café, 25 rue St Jérôme, Lyon 7ème - M° Jean Macé . Pour parler de Christian, prisonnier politique à Berlin, mais aussi de la montée des politiques répressives en Europe, des moyens de lutter contre, et de la nécessité d’éviter l’enfermement dans nos têtes.
La loi « relative à la sécurité publique » de février 2017 qui assouplit largement les conditions d’ouverture du feu des policiers n’en finit pas de produire son cortège de drames. Le nombre de morts s’accélère. En 2022, pas loin d’une dizaine de personnes sont mortes, tués par des agents après des « refus d’obtempérer ».
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