Récit d’une violence devenue que trop banale dans les manifestations en France et à Lyon. Jeudi 5 décembre, un manifestant reçoit en plein visage une bombe à gaz lacrymogène alors qu’il s’éloigne des gaz pour se protéger. Après plusieurs jours de douleurs, une visite à l’hôpital montre cinq fractures au visage. Un bilan qui lui vaudra 45 jours d’ITT et 35 jours d’AT.
